dimanche 1 juillet 2012

Un tour à Grenoble.

Une petite promenade à pied à Grenoble, entre le quartier de la Gare et ses aménagements modernes, le square des fusillés relooké et le marché de la place Saint Bruno.

Depuis les quais de la gare.

Le quartier qui s'étend à l'ouest de la gare de Grenoble, "Europole" est caractérisé par une architecture très moderne, des bâtiments récents, aux belles surfaces vitrées... le tout accueillant l'Ecole de Management des Systèmes d'Information (EMSI), visible sur cette photographie, le World Trade Center de Grenoble, ou encore le siège social de l'entreprise Gaz Electricité de Grenoble, le nouveau palais de justice, une cité scolaire internationale... Bref, un quartier qui se veut le centre moderne de la ville, une vitrine moderne aux fonctions "de pointe" et "internationales", avec des activités à haute valeur ajoutée... qui a pris la place d'une gare de triage, de quelques usines et d'entrepôts... Les temps changent, comme qui diraient.

Jeu de reflet moderne.
Le siège de l'entreprise Gaz Electricité de Grenoble (GEG).

Le nouveau Palais de justice de Grenoble.
Architecture très moderne aussi pour le nouveau Palais de justice qui a été inauguré en 2002. Réalisation de l'architecte Claude Vasconi, il a lui aussi une architecture très vitrée pour montrer "la transparence de la justice" et le fait que la "justice doit apporter la lumière", d'après un article du site "batiactu". Apparemment c'est le seul tribunal de France qui accueille toutes les juridictions (prud'hommes, correctionnel, assises...) dans le même bâtiment.

Le square des fusillés.
Un peu plus à l'ouest, on retrouve un quartier beaucoup plus populaire avec ses petits commerces, ses habitations... mais là aussi le changement s'annonce... les anciennes usines du site "Bouchayer Viallet" sont en cours de transformation, une grande salle de spectacle va être construite...et les usines qui bordent le Drac vont laisser la place à je cite "un nouveau quartier attractif et dynamique [...] Bureaux, logements, commerces, pôle culturel et de loisirs, Bouchayer-Viallet deviendra un véritable lieu de vie où domine la mixité." (texte d'intro du site internet qui présente cette vaste opération de transformation de la ville).
Sinon, le nouvel aménagement du square est très dans l'air du temps : avec sa pelouse pleine de trèfle ("respect de la biodiversité"), des plantations qui n'ont pas besoin d'un entretien très importants ou d'arrosages intensifs...)...



dimanche 10 juin 2012

Petit tour au bord de la Bourne.

Deux petites photographies d'un dimanche maussade et pluvieux du côté de Saint Nazaire en Royans et de son aqueduc et de Pont-en-Royans et de ses maisons suspendues.

Pont-en-Royans depuis le Pont Picard.
 Pont-en-Royans se trouve au débouché des gorges de la Bourne, dans le département de l'Isère. Ses maisons suspendues qu'on voit à gauche au premier plan font la renommée du village. 

L'aqueduc de Saint Nazaire en Royans.
Une vue de l'aqueduc du canal de la Bourne qui permet l'irrigation de la plaine de Valence. Je crois en avoir déjà parlé il y a bien longtemps...

dimanche 3 juin 2012

Un tour à Valence.

Vue depuis l'angle nord-est du Parc Jouvet
Le parc Jouvet doit son nom à Théodore Jouvet. Ce dernier, qui avait fait fortune dans le commerce du vin a offert à la commune la somme nécessaire pour acheter ce terrain qui offrait une belle perspective sur l'Ardèche et le château de Crussol, à deux pas du centre-ville historique. Le parc a été inauguré en 1905 par le président Emile Loubet et sera agrandi après la Deuxième Guerre mondiale et en 2000.

Lumière des vitraux sur le sol de la cathédrale de Valence.
La cathédrale Saint Apollinaire de Valence a été construite au XI-XIIe siècle puis détruite lors des guerres de religion, et reconstruite au XVIIe siècle à l'identique. Elle est un bel exemple d'architecture romane.

La maison des Têtes.
Cet hôtel particulier a été construit  dans les alentours de 1530. C'est un exemple de bâtiment marqué par l'art gothique mais déjà influencé par la Renaissance italienne.

La maison mauresque.
La maison mauresque est composée d'un bâti ancien et d'une façade en béton moulé réalisée à la fin du XIXe siècle. Elle illustre le goût pour l'Orient de la fin du XIXe siècle. Période qui voyait la France se lancer dans de vastes conquêtes coloniales.

La place Saint Jean.
La place Saint Jean et ses halles existent depuis la fin du XIXe siècle. En 1878, la municipalité décide la destruction d'un îlot d'habitations anciennes en mauvais état pour créer cet espace plus ouvert. Les halles sont l'oeuvre de l'architecte Eugène Poitoux et sont la première utilisation de l'architecture métallique dans le centre de Valence.

jeudi 24 mai 2012

Un petit tour à la gare des Ramières.

Retour en arrière. (le dimanche du premier tour des élections présidentielles, pour être précis) avec une petite visite, celle de la Gare des Ramières à Allex dans la Drôme.

La Gare des Ramières est le nom donné à la maison de la réserve naturelle des ramières de la Drôme qui s'étend entre Crest et Livron. Ce nom un peu curieux s'explique car elle est installée juste à côté de la Drôme et de la voie ferrée qui longe la rivière (et permet toujours de rejoindre Briançon, d'ailleurs) là où se situait l'ancienne gare d'Allex.
On peut y apprendre pas mal de chose sur la Drôme et son écosystème (les poissons, l'évolution de la vallée, les menaces, les castors, les papillons...). Leur site Internet est aussi très intéressant.
Monstre des profondeurs.
 Bon, pour de vrai, c'est peut-être plus une "carapace" vide qu'autre chose, mais bon... Idée intéressante d'essayer de montrer en "tranche" une vraie mare et ses terrifiants insectes qu'on aimerait pas croiser s'ils étaient à notre dimension.

Petit poisson.
L'espace dédié aux poissons est petit mais très intéressant. Avec un zoom sur l'Apron du Rhône, une espèce qui a priori ne vit plus que dans la Drôme et ses affluents. S'agit-il du petit poisson photographié ? Rien de moins sûr, mauvaise habitude parfois, de prendre des photos mais pas un minimum de note pour être sûr de ce qu'on photographie.

vue aérienne de la mare, cherchez les grenouilles...
Les espaces extérieurs sont composés d'un petit parc où l'on trouve une mare, un verger de fruitiers anciens, des explications sur les castors, des aromatiques... Côté mare, quelques grenouilles se chargent de l'animation musicale.

Du Thym et des abeilles.
La Drôme, depuis le pont d'Allex, en direction de l'aval.
Un petit tour pour finir au dessus de la rivière. Photographie prise depuis le pont entre Allex et Grâne, en regardant vers l'aval, avec en toile de fond les Trois Becs.

vendredi 13 avril 2012

Du côté de Comps (en février dernier).

Tient, j'ai un peu de temps, alors je bouche un peu le "trou" de ce blog en revenant sur une promenade effectuée en février dernier du côté de Comps, dans la Drôme.

Il s'agit en fait de la troisième promenade que nous faisons sur le chemin des Huguenots qui est en train d'être créé entre le Poët-Laval et Genève (voir plus loin). Les deux premières boucles nous ont mené du Poët-Laval à Dieulefit, et de Dieulefit à l'église de Comps.

Cette fois-ci nous avons fait une petite boucle au départ de l'église de Comps, d'abord en suivant le chemin officiel (qui est aussi le GR 9, sur cette portion) et en revenant en empruntant une petite route peu fréquentée mais qui offre une belle vue sur l'église et sur le château de Comps.

La ferme de la Motte, Couspeau et les Trois Becs.
Le chemin des Huguenots passe à côté de la très curieuse et jolie église de Comps. Il pique ensuite vers l'Est et grimpe jusqu'à la crête du Serre de la Motte (une petite bosse qui culmine à 808 m) et qui domine la vallée du Roubion, côté ouest. Au bout du Serre de la Motte, surprise, la ferme de La Motte... Derrière elle, la montagne de Couspeau séparée par le col de la Chaudière des Trois Becs. Col que le chemin emprunte d'ailleurs.

Vue depuis le Serre de la Motte.
Vue vers l'Est depuis le Serre de la Motte : a gauche des peupliers, la montagne de Miélandre, et à droite, celle d'Angèle qui émerge de peu par dessus la montagne de Vesc (enfin, je pense).

Vue sur l'église de Comps.
En regardant vers le Sud, l'église de Comps, isolée sur sa bosse devant la Montagne des Ventes à gauche et celle de Montmirail à droite.

Le château de Comps.
Dernière petite photographie, étrange ambiance sur le château de Comps. Cette commune de la Drôme est vraiment curieuse et atypique : pas de village, au sens habituel, mais chaque élément se trouve quasiment isolé et séparé des autres : l'église est toute seule avec le cimetière, la mairie toute seule avec le terrain de tennis et deux trois maisons, le château, tout seul avec sa ferme, le temple au milieu d'une autre ferme... Bref, un village "dispersé", ce qui n'est pas classique dans un coin où les vieilles villes fortifiées sont quand même très fréquentes.
Bon, quand on reviendra sur les pas des Huguenots, l'objectif sera de rejoindre Bourdeaux et la vallée du Roubion.

lundi 9 avril 2012

Entre Saint Laurent du Pape et le ruisseau de Thouac.

Deuxième promenade dans la vallée de l'Eyrieux, en continuité avec la précédente qui nous avait conduit du vieux Beauchastel au poteau de randonnée "ruisseau de Thouac".
Cette fois-ci, l'objectif était de partir de Saint Laurent du Pape et de rejoindre par l'autre côté ce poteau.
La promenade est plus longue et plus difficile. On emprunte d'abord une petite route qui serpente et grimpe tranquillement jusque vers 340 m d'altitude. C'est un peu long et parfois bien exposé au Mistral. Puis, dans un lacet, on quitte la route, et on descend tranquillement par un bon chemin jusqu'au fameux poteau.
Depuis ce poteau, on tourne dans la forêt par un petit sentier assez pentu, on traverse à gué le tout petit ruisseau de Thouac et on rejoint la plaine par un chemin très plaisant. Dernière partie par la route, par choix, y a moyen de revenir par des chemins plus forestiers et moins passants. Ceci dit, la route, la plaine, les exploitations fruitières et maraîchère, ça vaut le coup d'oeil.

Quelques petits souvenirs photographiques.

L'église de Saint Laurent du Pape.

Cadrage alambiqué et un peu raté (même pas évité les fils électriques et le poteau, alors que c'était le but, m'enfin...). Je voulais tenter une photographie avec cette jolie glycine et le clocher sans trop d'éléments parasites... Sinon, l'église de Saint Laurent du Pape est pas particulièrement "typique". A vu de nez, elle semble plutôt récente (fin XIXe, peut-être). En tout cas, son clocher marque la vallée.

Le château du Bousquet.
Ce "petit" château a été construit par la famille qui contrôlait le château-fort de Pierre Gourde (sur les crêtes, au dessus de la vallée de l'Eyrieux, un peu plus à l'Est). Apparemment, ils ont eu envie de s'installer ici au début du XVIe siècle... Ah la Renaissance... Cette famille, les "De la Marette" a joué, je crois, un rôle de pionnier dans la culture du pêcher dans la vallée. Ce château et ses tuiles vernissées pas forcément fréquentes dans le coin a été racheté par la commune en 1994.

Une petite touffe d'Euphorbe.
Les touffes d'Euphorbe (Euphorbe petit cyprès, je crois) ont pas mal rythmé notre promenade. Il y en a beaucoup qui occupent les bords de route.
Sinon, la végétation des rebords de la vallée reste marquée par les chênes verts, les genévriers, le petit houx, quelques merisiers, et une fois près de la crête, des châtaigniers.

Vue sur la vallée, vers Beauchastel.
Une vue sur la vallée de l'Eyrieux (et sa partie terminale) et celle du Rhône. La météo étant ensoleillée, mais brumeuse, la vue n'est pas extraordinaire, on distingue peu de chose au loin, si ce n'est, vaguement Rochecolombe et le Vercors. Livron et les Petits Robins sont déjà dans la brume, alors... On voit mieux un petit bout de Beauchastel et la vallée de l'Eyrieux.

Au bout de la vallée du ruisseau de Thouac.
Le ruisseau de Thouac est un des nombreux petits cours d'eau (pour la plupart temporaires) qui descendent des crêtes "nord" de la vallée pour rejoindre l'Eyrieux. C'est quand même intéressant de voir à quel point une toute petite rivière a pu creuser une vallée aussi encaissée et profonde... et de se dire qu'à même pas cinq minutes de la vallée du Rhône, on peut parcourir des paysages "aussi désertiques" (enfin, sans maison, ou quasiment en vue).

dimanche 1 avril 2012

Un tour dans les Lônes de Soyons.

Le long d'une lône.
Quatre petites photographies d'une promenade sans dénivelé en Ardèche (et oui, en cherchant bien, c'est possible), du côté de Soyons et de sa plaine qui borde le Rhône.
Soyons est un village situé au sud de Valence, sur la rive ardéchoise du Rhône. Le village est coincé entre le fleuve et le rebord abrupt des montagnes. Ceci-dit, quand on s'oriente en direction de Charmes sur Rhône, une plaine s'ouvre, profitant d'un méandre du Rhône. Cette plaine est occupée par quelques vergers, pas mal de jardins et par des Lônes, c'est-à-dire par des bras morts du fleuve.
Ces Lônes, dont la plus grande porte le très joli nom de Lône de L'Ove ont un peu perdu leur fonction première quand le fleuve a été canalisé, aménagé... pas mal ont été bouchées et réutilisées. A Soyons, on y trouve encore de l'eau et un réseau de Lônes plus ou moins grandes offrant un cadre plutôt bucolique de promenade.

Lamier pourpre.
Il y a sans doute pas mal de plantes intéressantes à voir autour des Lônes, vu qu'elles sont classées en zone d'intérêt faunistique et floristique... bon, j'ai juste sélectionné une photo d'une belle touffe de lamier pourpre, plante qui est loin d'être rare ni très belle, mais bon, j'aimais bien, alors...

Les bords du Rhône.
Pour rentrer sur le village nous avons rejoint les bords du Rhône pour marcher sur la digue qui protège le village et la plaine (qui a l'air d'être plus basse que le fleuve...). Cela ouvre un peu le paysage et permet de faire une promenade plus variée, mais aussi plus ventée.
Bon, certes, sur la rive d'en face, c'est le port commercial de Valence, pas vraiment magnifique et puis on gagne le plaisir d'entendre le trafic de la N 7 (qui passe devant le bâtiment rouge) et de l'A7 mais ça permet aussi de profiter du soleil.

Vue sur  Soyons.
Depuis la digue on se rapproche petit à petit de Soyons dont on peut voir ici, les quartiers relativement récents, de pavillons partis à l'assaut des pentes, et la Tour penchée, sur le Serre de Quercy, seul vestige du château fort qui gardait la vallée.
Le vieux village est caché par les arbres en contrebas à droite de la Tour. L'espace occupé par les Lônes se trouve à notre gauche, le Rhône, à notre droite. Voilà.

dimanche 18 mars 2012

Saint Georges les Bains depuis Vitaterne.

Pas de nouvelle promenade ce week-end, à cause de l'arrivée de la pluie.
Du coup, je reviens sur un tout petit tour fait il y a peu à Saint Georges les Bains, entre le "lac du Turzon", le quartier de Château Rouge et le hameau de Vitaterne.
C'est un petit tour de quelques kilomètres qui se compose de deux parties essentiellement : un moment où l'on longe la partie terminale du Turzon, un affluent du Rhône, qui forme un lac avant de rejoindre le fleuve et une partie plus forestière, un peu plus haut, à travers une forêt marquée par la présence de vieux châtaigniers aux troncs tourmentés formant tout un tas de monstres imaginaires pour peu qu'on laisse un peu divaguer son imagination...

De ce tout petit périple sans prétention, je n'ai retenu qu'une seule photographie :

Saint Georges depuis Vitaterne.



L'un des intérêts de cette promenade c'est la vue qu'elle offre sur la partie haute de Saint Georges les Bains.
Saint Georges est une commune assez étendue qui va des bords du Rhône jusqu'aux premières crêtes, à cheval sur les rives du Turzon.
Cette photographie prise dans la montée entre le Turzon et le hameau de Vitaterne nous permet de voir à droite le coeur du village actuel de Saint Georges, là où se trouve la mairie, l'école et l'église, un tout petit vieux village considérablement agrandi par des constructions plus récentes.... et à gauche, les ruines de Saint Marcel de Crussol, village existant depuis le Moyen Age, avec ses vestiges de fortifications... aujourd'hui complètement inhabité. Entre les deux, la vallée du Turzon, qu'on ne voit pas ici, tant elle se creuse à cet endroit.
Derrière, le Serre de Planèze (nom très peu original dans le coin), offre sa silhouette boisée.











dimanche 11 mars 2012

Reprise des activités.

Bon, et bien le moins que l'on puisse dire, c'est que ça fait un bail que ce blog est à l'abandon.
Des messages anciens qui racontaient d'autres promenades plus anciennes encore...
Alors le retard rendant toute mise à "taille" de plus en plus compliquées... Je pense que je fais faire une subtile ellipse temporelle et montrer quelques photographies un peu plus récentes.

Alors, quelques petites photographies d'une petite promenade d'une heure et quelque en aller-retour sur le même chemin du côté de Beauchastel.
En ce jour où le Mistral souffle fort, nous avons orienté nos pas sur le rebord sud de la vallée de l'Eyrieux, en nous disant que la montagne allait nous protéger. Bonne pioche dans l'ensemble.
Nous avons emprunté un bon chemin qui grimpe lentement et permet de passer du village de Beauchastel à celui de Saint Laurent du Pape. Pas le temps ni le courage de faire les 8 km (Aller-retour compris), nous nous sommes arrêtés du côté du ruisseau du Thouac... On fera l'autre côté un de ces quatre...

Le vieux village de Beauchastel.
C'est chouette, hein, Beauchastel. Le vieux village, perché au dessus des crues parfois exceptionnelle de l'Eyrieux vaut le coup d'oeil, en tout cas.

La basse vallée de l'Eyrieux.

 Sur cette photographie, on regarde vers l'Est et la vallée du Rhône.(Si vous regardez la photographie en taille réelle vous verrez un peu mieux.)
Au premier plan, les pentes des montagnes qui bordent l'Eyrieux (l'Echine de l'âne, qu'il s'appelle, même, ce flanc de montagne). Ensuite, l'Eyrieux avec les deux ponts de Beauchastel (routier et ferroviaire). De l'autre côté, la "plaine" qui sépare Beauchastel de La Voulte.
Encore plus loin, la Drôme. On voit Livron et ses petites montagnes, et dans la brume, Rochecolombe et c'est tout. Pas de vue exceptionnelle aujourd'hui.
De l'autre côté, Saint Laurent du Pape.
 Quelques dizaines de mètres plus loin, la vue s'ouvre vers l'Ouest et sur Saint Laurent du Pape.
Dans ce sens là, la vallée fait plus "vallée", évidemment. Le village de Saint Laurent du Pape occupe une petite plaine où la fonction de résidence concurrence une tradition bien installée de maraîchage et de production fruitière. Au fait, les premières tomates de la vallée de l'Eyrieux sont déjà dans les magasins...
En "taille réelle", on peut voir le clocher et plus à droite, le château du Bousquet.

Des violettes blanches.
Côté végétation, le début mars, est pas vraiment la période la plus sympa.
Les pentes des montagnes sont occupées par des forêts où le chêne et le chêne vert se taillent une bonne part. Les buis, genévriers et petits houx occupent aussi pas mal les sous-bois.
Côté fleurs, pas grand chose, à part les violettes violettes et les violettes blanches. Mais bon, je vais pas faire comme si je m'y connaissais... Sinon, on a vu notre premier papillon de l'année... ça fait plaisir, le printemps arrive.