Dans le labyrinthe de maïs de Charmes.

Trois petites photographies prises au début septembre dans le labyrinthe de maïs qui se trouve sur les hauteurs de Charmes sur Rhône. Si vous voulez plus de renseignements sur ce site, ils ont une adresse internet : ici.

Une fleur de Datura.

Un arc en ciel au dessus du maïs.

Une fleur de cosmos.

Un tour sur les hauteurs de Rochemaure.

Une rue du village de Rochemaure.

Le village de Rochemaure se situe en Ardèche, au bord du Rhône, à peu près en face de Montélimar, à l'extrémité orientale du massif volcanique du Coiron. Le village est dominé par un très imposant château fort lui-même planté sur une belle coulée basaltique.

Une porte fortifiée du village.

Le village (ou une de ses parties) était protégé par une enceinte, dont voici une des anciennes portes. On retrouve le même style de construction (avec basalte et calcaire mélangés) qu'à Chomérac, par exemple.

Le château de Rochemaure, vu du village.

... vu de plus haut.

Plus on grimpe, plus la vue s'ouvre sur l'est, la plaine de Montélimar, et les montagnes qui l'entourent (ici, au fond, les Trois Becs et la montagne de Couspeau). Le panorama qui s'ouvre est particulièrement vaste, on finit par disposer d'une vue qui s'étend du Vercors au Mont Ventoux, en passant par Glandasse, les Trois Becs, la montagne d'Angèle...

....d'encore plus haut et plus loin..

Vue vers le sud....

Côté Rhône la vue s'étend jusqu'au défilé de Donzère. La silhouette du Ventoux est visible, mais mon appareil a peiné pour la "voir" (juste au centre de la photographie).

Une dernière photographie du château.

Du village de Bouvières au col d'Espréaux.

Quelques photographies prises fin août, du côté de Bouvières, dans la Drôme.

Bouvières est une petite commune située à l'est de Dieulefit, non loin des sources du Roubion, entre la Montagne d'Angèle, celle de Miélandre et celle de Couspeau.

Bouvières, la vallée du Roubion et la montagne de Couspeau.

La montagne de Couspeau forme une grande barrière orientée en gros nord-sud, qui s'étend des Trois Becs (dont elle est séparée par le col de la Chaudière), jusque par ici. Elle est l'un des principaux éléments du paysage pour cette promenade, tout comme la montagne d'Angèle.

Ce tour reste de l'autre côté du Roubion et concerne plutôt les contreforts de la montagne de Miélandre. Depuis le village de Bouvières (situé à environ 600 mètres d'altitude), on grimpe jusqu'à un col, celui d'Espréaux (à quasi 900 mètres), d'où on peut envisager l'ascension de cette montagne qui culmine à 1451 mètres. Bon, pour cette fois, nous nous sommes contentés de redescendre par un autre chemin sur Bouvières.

Sans aller très haut, ce tour offre de très beaux paysages de moyennes montagnes "du sud".

Chardons bleus devant le col La Sausse.

Quelques chardons bleus (ou ?) qui sont nombreux à pousser par là.

Au fond, le col La Sausse qui permet de redescendre sur Nyons, ou en tout cas, de rejoindre la vallée de l'Eygue.

Bouvières dans sa vallée.

Une nouvelle vue sur Bouvières et la vallée du Roubion, d'un peu plus haut que la première photographie.

Un peu de géologie..

Un pan de la montagne de Miélandre est composé par de très fines couches de calcaire qui retiennent des marnes (enfin, je crois), qui ne demande qu'à glisser vers le Roubion. Les plantes s'en mêlent quand elles le peuvent.

Le col d'Espréaux.

Le col d'Espréaux, sa maison, ses champs (la ferme du col est cachée par les arbres de droite), et au fond, une partie de la montagne d'Angèle.