mercredi 5 octobre 2011

Un tour autour du Turzon.

Les ruines de Saint Marcel de Crussol.

Quelques souvenirs d'une très belle promenade du côté de Saint Georges les Bains, autour du Turzon, un petit affluent du Rhône, réalisée au début du printemps.
Mon idée était de faire une boucle autour du Turzon, en passant par les ruines du village de Saint Marcel de Crussol, de grimper sur la crête qui domine la rivière et de redescendre pour revenir via la route qui mène de Saint Georges au col de Rotisson.

 Le Turzon.

 Les ruines de Saint Marcel de Crussol.

Les ruines de Saint Marcel de Crussol, à quelques centaines de mètres du Rhône... juste au dessus du Turzon.
 Les gorges du Turzon.

Un petit peu avant de passer au pied du village de Saint Marcel de Crussol, le Turzon a creusé des petites gorges.

 En route vers la crête.

Depuis le haut des ruines on peut emprunter un très beau chemin (mais qui grimpe bien) pour rejoindre le sommet des petites montagnes qui dominent la vallée du Turzon et du Rhône. La vue s'ouvre peu à peu au fur et à mesure que l'on grimpe sur la plaine de Valence, le Vercors, Glandasse...

 Suite de l'ascension.

 Vue sur Saint Georges les Bains et Valence.

 Sur la crête, regard vers le Sud.

Une fois sur la crête, le chemin est très facile et offre un très beau et très vaste panorama.

 En redescendant vers le Turzon.

Boucler la boucle.

Petite photographie prise avant d'entamer le retour à Saint Georges les Bains, de la montagne sur laquelle ce tour m'a fait grimper.

samedi 24 septembre 2011

Un tour au bord de la Drôme.

Avec la rentrée, viennent les bonnes résolutions... comme celle d'essayer de rattraper le retard de plus en plus abyssal de ce blog et le réanimer un petit peu.

Alors, on revient au mois de Mars, et voici quelques photographies prises lors d'une belle après-midi de dimanche, entre le pont de l'autoroute A 7 sur la Drôme et le seuil contourné par un passage aménagé pour les poissons (sur le territoire de Livron sur Drôme). Petite promenade, assez intéressante, surtout quand on s'aventure un peu dans le lit de la Drôme.


Le "seuil" de la Drôme.

La Drôme est réputée être l'une des rares rivières "sauvage" descendant des Alpes... Bon, sauvage, sauvage, sans doute, mais marquée quand même par des aménagements réalisés par l'Homme. Les digues, déjà, évidemment, et puis ce seuil qui a été réalisé afin d'éviter que la rivière, où l'on puisait pas mal de cailloux, ne creuse trop son lit et ne finissent par déstabiliser les piles des ponts. Du coup, ça fait une jolie cascade.


La passe pour les poissons.

Bon, l’inconvénient du seuil, c'est qu'il rendait le passage des poissons un peu compliqué. Dommage pour une rivière sauvage. Alors une passe a été aménagée pour les poissons qui leur permet de passer la cascade sans s'épuiser. Des blocs de bétons créent des remous et des zones de "calme". C'est assez intéressant à voir comme équipement et sans doute le fruit de moult réflexions... On trouve aussi sur le site un panneau explicatif dans le sol plutôt bien fait. Le hic, apparemment, c'est qu'on ne sait pas comment expliquer aux poissons qu'ils peuvent passer par là.


Trace de castor.

Au départ, on pensait voir des oiseaux migrateurs. Bon, de fait, je me rappelle qu'il y avait des hirondelles déjà de retour qui s'amusaient au dessus de l'eau. A part ça, pas grand chose à signaler côté bête à plumes.
Par contre, nous avons pu observer pas mal de traces de castors... et surtout pas mal de petits troncs coupés comme celui-ci.
Le castor est en train de recoloniser la vallée du Rhône et de ses affluents. Au niveau de la vallée de la Drôme, les castors ont apparemment trouvé un habitat qui leur convient bien.

Pour en savoir plus, il y a apparemment des trucs sympas à lire ici : sur le site internet de l'association Castor et Homme et sur le site de la gare des ramières, l'endroit idéal pour apprendre plein de chose sur la Drôme et sa vallée.

lundi 25 juillet 2011

Dans la forêt de Marsanne.

La forêt de Marsanne.

On progresse lentement vers le printemps... et encore. Retour sur une promenade réalisée début mars du côté de Marsanne et de sa forêt.
Marsanne est une petite ville située à une dizaine de kilomètres au nord-est de Montélimar dans la Drôme.
Cette promenade nous conduisait dans la forêt de Marsanne qui occupe un petit massif de petites montagnes qui sépare la vallée de la Drôme de celle du Roubion. Des petites bosses avec une altitude limitée (guère plus de cinq cent mètres), mais aux pentes plutôt raides et qui sont massivement boisées.
La photographie ci-dessus montre une vue vers le Sud, un peu gâchée par la brume.

Les éoliennes.

Du côté du col de la Grande Limite (sur l'une des rares routes qui permet de traverser ces petites montagnes celle permettant de joindre Marsanne à Mirmande) on dispose d'une vue sympathique sur les éoliennes qui ont été installé pour profiter du Mistral.
Comme souvent, elles ne font pas l'unanimité pour leur esthétique.

Le patrimoine urbain.


Marsanne possède aussi un assez sympathique patrimoine urbain et religieux dont voici quelques aperçus : le clocher blanc de l'église Saint Félix du XIIe siècle, une jolie demeure un peu plus tardive (plutôt du XVIIe, je crois)...
Bon, cette fois ci on a privilégié le côté forêt, alors faudra y revenir pour voir le côté "patrimoine" d'un peu plus près.

mercredi 20 juillet 2011

Petit tour à Corps.

Le centre de Corps.

Dernier tour dans le sud de l'Isère réalisé lors des dernières vacances de février : une promenade facile menant du centre bourg de Corps jusqu'au niveau du barrage du Sautet.
Corps est une petite ville traversée par la route Napoléon, c'est aussi un passage obligé pour se rendre du côté de Notre-Dame de la Salette.

Le Lac du Sautet et les portes du Valgaudemar.

Le temps était un peu meilleur que lors des dernières promenades décrites ici, mais restait très brumeux, nous privant de vues sur le Dévoluy et le massif de l'Obiou.

Pulmonaires (sans garantie).

Quelques petites fleurs vues au bord de la route. Des pulmonaires, peut-être.

jeudi 14 juillet 2011

Les demoiselles coiffées de Pellafol.

Demoiselle coiffée.

On continue dans le sud de l'Isère et les vacances de février... avec une très jolie promenade à Pellafol. C'est la dernière commune de l'Isère avant de passer dans les Hautes Alpes et le Dévoluy. Elle domine le lac du barrage du Sautet qui se trouve à la confluence du Drac et de la Souloise. Le plafond était très bas ce jour là, tout comme le niveau du barrage.

Autres cailloux suspendus.

Cette promenade part d'un des principaux hameaux de Pellafol (les Payas), sur une plaine et descend via le Vieux Pellafol en direction des bords du lac du Sautet, du côté de la Souloise. On surplombe ensuite le lac jusqu'au Pont du Mas et on revient aux Payas, via la plaine et le hameau des Chaneaux.
C'est une chouette balade dans un creux au cours de laquelle on peut avoir des vues sympathiques sur le lac du Sautet et les demoiselles coiffées qui se trouvent plus où moins loin de ses berges.
Petit chemin, petits et gros cailloux.

Un rayon de soleil éclaire quelques plis géologiques.

Le Lac du Sautet depuis le rebord de la plaine des Payas.

Demoiselle coiffée vue du dessus et la Souloise.


vendredi 13 mai 2011

Vers Trachet.

Le col de la Brèche, un jour de plafond bas.

Autre promenade sur Cordéac. Un tour dans la plaine jusqu'à la ferme de Trachet, quelque part au bout du monde, au bord d'un trou creusé par un affluent du Drac.
Il avait neigé un petit peu dans la nuit et le plafond est resté très bas ce jour là. D'où des photographies un peu "grises" et "sombres".
La photographie ci-dessus montre le col de la Brèche qui permet de passer (à pied) entre l'Aiguille à gauche et Châtel à droite.

Le "trou" de Trachet.

La vallée creusée par le ruisseau des Achards et dominée par le "petit" sommet de Jenabran, un morceau du massif de l'Obiou.
La ferme de Trachet se trouve au bout d'un chemin, au bord de ce trou. Les premiers voisins sont quand même pas très proche... Cela a vraiment un petit coup de bout de monde, peut-être encore plus quand le temps est pas terrible.

Une vue sur la vallée du Drac.

Après celle du dernier "tour", une autre vue, un peu plus en amont sur la vallée du Drac. On ne voit pas l'eau, cette fois-ci, ni les sommets des montagnes...

lundi 9 mai 2011

Cordéac en février.

Continuons à rattraper un peu le retard de ce blog... et retour sur le début des vacances de février 2011... avec un retour du côté de Cordéac et du sud du département de l'Isère.

L'enneigement était moindre cette année que l'année précédente, limité aux sommets au début de notre séjour, qui n'a vu qu'un très fin saupoudrage quelques jours plus tard. Le début de ces vacances fut aussi l'un des rares moments où le plafond était haut... après ce fut bien plus brumeux et bouché.

La plaine, l'Aiguille et le sommet de l'Obiou et son voile de nuage.

Pas un "pur" ciel bleu, mais suffisamment dégagé pour permettre de voir le sommet de l'Obiou, pour un peu que l'on s'éloigne un peu du village de Cordéac dans la plaine.

Une vue sur le Drac.

Quand on s'avance au bord de la plaine, on peut réussir à voir le Drac, qui coule tout au fond de sa vallée en passant de barrages en barrages. Inutile de dire que la vallée du Drac, si encaissée et "large", ne présente pas beaucoup de passages et que les villages "d'en face" sont à la fois très proche à vol d'oiseau et très loin en temps de voiture.

dimanche 8 mai 2011

De nouveau vers Toulaud.

Bon, il est temps de relancer un petit peu ce blog qui est loin d'être à jour...
Alors, retour en hiver, avant les vacances de Février, par un beau dimanche, avec malheureusement une brume assez épaisse gâchant quelque peu les paysages.
Ce jour-là j'ai suivi un itinéraire parcourant le plateau des Ménafauries, essentiellement entre Toulaud et Soyons et empruntant un petit bout du chemin de Grande Randonnée qui passe par là (le GR 42 de mémoire, qui va du Pilat à la Camargue en longeant de plus ou moins loin le Rhône).

Deux vues sur le "vieux Toulaud".


Toulaud depuis le Serre de Christol.

La brume gâche un peu le paysage, mais bon... il faut faire avec. Le Serre de Christol est une toute petite bosse qui sépare Toulaud de la vallée du Rhône et de la commune de Soyons. Plus au nord, c'est la montagne de Crussol qui joue le même rôle entre Toulaud et Guilherand Granges.

La vallée du Rhône et la tour penchée de Soyons.

Le versant "rhodanien" du Serre de Christol est plus escarpé et offre une très belle vue sur le village de Soyons (que l'on ne voit pas sur cette photographie), la tour penchée qui domine le village, le Rhône, et Portes-les-Valences de l'autre côté. J'imagine que quand la vue est dégagée, la vue est splendide sur la plaine de Valence et le rebord du Vercors, mais je n'y suis pas retourné pour voir jusqu'où on pouvait voir. Un autre jour sans doute.

lundi 4 avril 2011

Au bord du Rhône, en hiver.

Le Turzon et son domaine.

Trois petites photographies prises lors d'une journée "grisâtre" de février au bord du Rhône, entre Châteaurouge et Charmes.

La digue, le Rhône.

Cygnes tuberculés devant le pont de Charmes.

Une escadrille de cygnes tuberculés s'écartant progressivement du bord au fur et à mesure de mon avancée. Au fond, le pont de Charmes emprunté par quelques cavaliers.

En janvier, du côté de Toulaud.

En direction de Toulaud.
Petite route cachée.

Quelques photographies prises lors d'une promenade vers Toulaud, en janvier.

Le plateau des Ménafauries et le Vercors.

Le dernier rebord qui nous cache Soyons, Guilherand-Granges et Valence... et tout au fond, le Vercors.

Depuis le vieux Toulaud, vue vers le Nord.

Le "nouveau" Toulaud au premier plan. A droite, la montagne de Crussol, puis Saint Péray et la vallée du Mialan.
Mairie et "vieux" Toulaud.

Entre Toulaud et Saint Georges.

L'Embroye en hiver.