vendredi 13 mai 2011

Vers Trachet.

Le col de la Brèche, un jour de plafond bas.

Autre promenade sur Cordéac. Un tour dans la plaine jusqu'à la ferme de Trachet, quelque part au bout du monde, au bord d'un trou creusé par un affluent du Drac.
Il avait neigé un petit peu dans la nuit et le plafond est resté très bas ce jour là. D'où des photographies un peu "grises" et "sombres".
La photographie ci-dessus montre le col de la Brèche qui permet de passer (à pied) entre l'Aiguille à gauche et Châtel à droite.

Le "trou" de Trachet.

La vallée creusée par le ruisseau des Achards et dominée par le "petit" sommet de Jenabran, un morceau du massif de l'Obiou.
La ferme de Trachet se trouve au bout d'un chemin, au bord de ce trou. Les premiers voisins sont quand même pas très proche... Cela a vraiment un petit coup de bout de monde, peut-être encore plus quand le temps est pas terrible.

Une vue sur la vallée du Drac.

Après celle du dernier "tour", une autre vue, un peu plus en amont sur la vallée du Drac. On ne voit pas l'eau, cette fois-ci, ni les sommets des montagnes...

lundi 9 mai 2011

Cordéac en février.

Continuons à rattraper un peu le retard de ce blog... et retour sur le début des vacances de février 2011... avec un retour du côté de Cordéac et du sud du département de l'Isère.

L'enneigement était moindre cette année que l'année précédente, limité aux sommets au début de notre séjour, qui n'a vu qu'un très fin saupoudrage quelques jours plus tard. Le début de ces vacances fut aussi l'un des rares moments où le plafond était haut... après ce fut bien plus brumeux et bouché.

La plaine, l'Aiguille et le sommet de l'Obiou et son voile de nuage.

Pas un "pur" ciel bleu, mais suffisamment dégagé pour permettre de voir le sommet de l'Obiou, pour un peu que l'on s'éloigne un peu du village de Cordéac dans la plaine.

Une vue sur le Drac.

Quand on s'avance au bord de la plaine, on peut réussir à voir le Drac, qui coule tout au fond de sa vallée en passant de barrages en barrages. Inutile de dire que la vallée du Drac, si encaissée et "large", ne présente pas beaucoup de passages et que les villages "d'en face" sont à la fois très proche à vol d'oiseau et très loin en temps de voiture.

dimanche 8 mai 2011

De nouveau vers Toulaud.

Bon, il est temps de relancer un petit peu ce blog qui est loin d'être à jour...
Alors, retour en hiver, avant les vacances de Février, par un beau dimanche, avec malheureusement une brume assez épaisse gâchant quelque peu les paysages.
Ce jour-là j'ai suivi un itinéraire parcourant le plateau des Ménafauries, essentiellement entre Toulaud et Soyons et empruntant un petit bout du chemin de Grande Randonnée qui passe par là (le GR 42 de mémoire, qui va du Pilat à la Camargue en longeant de plus ou moins loin le Rhône).

Deux vues sur le "vieux Toulaud".


Toulaud depuis le Serre de Christol.

La brume gâche un peu le paysage, mais bon... il faut faire avec. Le Serre de Christol est une toute petite bosse qui sépare Toulaud de la vallée du Rhône et de la commune de Soyons. Plus au nord, c'est la montagne de Crussol qui joue le même rôle entre Toulaud et Guilherand Granges.

La vallée du Rhône et la tour penchée de Soyons.

Le versant "rhodanien" du Serre de Christol est plus escarpé et offre une très belle vue sur le village de Soyons (que l'on ne voit pas sur cette photographie), la tour penchée qui domine le village, le Rhône, et Portes-les-Valences de l'autre côté. J'imagine que quand la vue est dégagée, la vue est splendide sur la plaine de Valence et le rebord du Vercors, mais je n'y suis pas retourné pour voir jusqu'où on pouvait voir. Un autre jour sans doute.