Représentation de l'ascension du Christ.
Le calvaire de Pont-Château se situe, comme son nom l'indique près de Pont-Château, à proximité de la route de Vannes. C'est un vaste ensemble de statues racontant la Passion du Christ et d'autres épisodes de la vie de Jésus Christ.
La Scala sanctua.
Ce portique marque le début du Chemin du croix. L'arrestation de Jésus, sa torture, Pilate se laver les mains, et Jésus coiffé d'épines y sont représentés. Il y avait plus de 50 000 personnes lors de son inauguration à la fin du XIXe siècle.
Le Golgotha de Pont-Château.
Le Golgotha semi-artificiel de Pont-Château. D'en haut, la vue est assez belle, notamment sur la Brière.
La résurrection : ouf, l'histoire finit bien.
L'histoire ne se termine pas avec la crucifixion... la résurrection est aussi représentée.
Fresque de Louis de Montfort.
A côté du "Golgotha", une petite chapelle évoque la vie de Louis Marie Grignion de Montfort qui a lancé la réalisation du calvaire en 1709.
L'histoire de celui-ci est d'ailleurs assez mouvementé. Construit par des milliers de bénévoles entre 1709 et 1710, il est à peine terminé que Louis XIV ordonne sa destruction (sous un prétexte sécuritaire : le calvaire étant supposé pouvoir devenir un repaire de brigands, plus probablement suite à une jalousie d'un noble local "anti-Montfort"). Le calvaire est peu à peu reconstruit tout au long du XVIIIe siècle. La Révolution passe par là et le site est ravagé et pillé en 1793.
Le XIXe siècle voit le site repartir et les aménagements se multiplier (Scala sanctua, "Temple de Jérusalem"...). En 1948, c'est entre 100 000 et 200 000 personnes qui assistent à la fête de la canonisation de Louis de Montfort présidé par Mgr Roncalli, futur Jean XXIII.
L'histoire de celui-ci est d'ailleurs assez mouvementé. Construit par des milliers de bénévoles entre 1709 et 1710, il est à peine terminé que Louis XIV ordonne sa destruction (sous un prétexte sécuritaire : le calvaire étant supposé pouvoir devenir un repaire de brigands, plus probablement suite à une jalousie d'un noble local "anti-Montfort"). Le calvaire est peu à peu reconstruit tout au long du XVIIIe siècle. La Révolution passe par là et le site est ravagé et pillé en 1793.
Le XIXe siècle voit le site repartir et les aménagements se multiplier (Scala sanctua, "Temple de Jérusalem"...). En 1948, c'est entre 100 000 et 200 000 personnes qui assistent à la fête de la canonisation de Louis de Montfort présidé par Mgr Roncalli, futur Jean XXIII.
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