lundi 28 septembre 2009

Une petite visite de Paulhan.

Au coeur de la "circulade" de Paulhan.
Enfin... quelques photographies prises lors de notre séjour dans l'Hérault.
Je commence par une petite visite de Paulhan où se situait notre hébergement. Paulhan se situe dans la vallée de l'Hérault, à peu près à mi-chemin entre les premières montagnes et la Méditerranée. Le vieux village est réputé pour sa "circulade" : une organisation en forme de cercle (ici : trois cercles concentriques, si je n'm'abuse). Cette organisation, témoignage d'un urbanisme "défensif"a l'air d'être assez classique dans cette région.
On voit ici, un des passages qui permet de passer d'un cercle à un autre.
L'énigme Stefanik.
A Paulhan, on peut voir cette statue d'un aviateur. Il s'agit de Milan Rastislav Stefanik, un Tchèque qui organisa pendant la Première Guerre mondiale une unité d'aviateurs de son pays au service des alliés (la Tchéquie appartenait alors à l'Autriche-Hongrie en lutte contre la France). Je n'ai pas eu le temps d'en chercher plus sur ce personnage et je me demande toujours pourquoi on trouve sa statue ici. Mon hypothèse est que son unité s'est entraînée par ici.

Les halles "à la Baltard" de Paulhan.
Le bâtiment des halles de Paulhan se situe au coeur de la circulade. Etrange bâtiment par sa couleur et son architecture que l'on dit inspirée de celle de Baltard... Sinon, on peut se rendre compte que se garer est un problème dans une "circulade".


Le clocher de Notre-Dame des Vertus.
Cette chapelle se situe en bordure du village. Elle est annoncée comme une chapelle du Xe siècle... Bon, en fait, le clocher est plus tardif (XIVe siècle, tout de même). Il sert de "logo" aux vins produits par la cave coopérative locale.
On ne sait pas grand chose de certain sur cette chapelle. Peut-être était-elle une étape sur la route des pèlerins qui se rendaient à Saint-Jacques de Compostelle par le chemin d'Arles.
Un présent à Notre-Dame des Vertus.
Le choeur de Notre-Dame des Vertus.
Le très harmonieux choeur de cette vieille chapelle, photographié depuis la tribune.
La photo "biolo" du jour : une grenade.
La grenade... un des fruits du "Sud"...


samedi 26 septembre 2009

Un petit tour à Mirmande.

La vue depuis le haut de Mirmande.
Mirmande est un petit village qui appartient à la petite famille des "plus beaux villages de France".
Il se situe à une petite dizaine de kilomètres au sud-est de Loriol. La photographie ci-dessus montre la vue que l'on a quand on regarde vers le nord depuis le haut du village.
On peut voir à droite le village de Cliousclat, et au fond la vallée du Rhône (Le Pouzin, notamment).
La vue... vers le sud.
Depuis un autre point de vue on peut disposer d'une vue relativement dégagée vers le sud... et sur les immenses carrières et la centrale nucléaire de Cruas. La plaine de la vallée du Rhône devient très étroite au niveau de la centrale et de la Coucourde.

Vigne grimpante.
En plus d'être un beau village, Mirmande est aussi un village "botanique" de la Drôme, spécialisé dans les plantes grimpantes. Bon, ça possède un certain charme, une vigne plantée de cette manière. Mais ça doit pas être très pratique à récolter, tout de même...

Rue "typique".
Une petite rue de Mirmande, avec ses murs en pierre, son pavage, son étroitesse et ses arcades qui permettent aux maisons de se soutenir les unes aux autres...
Le clocher de "l'église du bas".
L'église "du bas", dont je n'ai pas noté le nom et un figuier au premier plan. On trouve deux églises à Mirmande : une se trouve tout en haut du village et l'autre, quasiment en bas.
Détail : vieille porte.
Une photo d'une partie d'une vieille porte de Mirmande.

Voilà pour la partie "drômoise" des vacances d'été.
Très prochainement, j'attaque la période "héraultaise".



lundi 21 septembre 2009

Vacances dans la Drôme : Cliousclat et Montélimar.

Vélo à vendre à Livron.
Petit souvenir d'une promenade à Livron par un très chaud après-midi d'août. Un vélo à vendre qui n'a pas trouvé preneur depuis l'hiver. A défaut de rouler il a apparemment trouvé à se reconvertir en support de treille.

Le terrain de pétanque de Cliousclat.
Retour à Cliousclat, petit village dont j'ai déjà parlé sur ce blog. Ici, on peut voir le terrain de pétanque qui se trouve vraiment au coeur du village. L'étroitesse des rues et les quelques arbres permettaient de ne pas trop souffrir de la chaleur.
La grande fabrique de poterie de Cliousclat.
Derrière ce mur plein d'inscriptions se trouve la fabrique de poterie de Cliousclat. C'est de ce lieu que la poterie a commencé sa "reconquête" du village après des années de déclin et une quasi-disparition. Le bâtiment est classé monument historique. J'ignore si les inscriptions sont classées elles aussi.

A l'intérieur de la fabrique de poterie.

La cour intérieure de la fabrique de poterie de Cliousclat.

L'entrée de la nougaterie Arnaud Soubeyran.
On est prévenu d'entrée : certains sont prêts à faire des folies pour manger les nougats de la maison Soubeyran.
Les photographies qui vont suivre sont prises à l'intérieur des locaux de la maison Arnaud Soubeyran.
Autrement, leur site internet est ici.
C'est une visite assez agréable et sympathique (et gratuite) que l'on peut faire librement ou en suivant un guide (en fait, l'affluence décide de la mise en place d'une visite guidée).
La fin de la visite par la boutique permet à l'entreprise de rentabiliser son ouverture au public.
La reine et ses prétendants.
Un des temps fort de la visite est la "reconstitution" d'une ruche et la présentation des différentes abeilles que l'on peut y rencontrer.
Ici, on peut voir le début de la cohorte des faux bourdons qui essayent de séduire la future reine.
Les faux bourdons : période d'oisiveté.
Les faux bourdons sont apparemment des adeptes des jeux de carte....
La cuisson du nougat.

Autre temps fort de la visite : la cuisson du nougat. On peut voir les nougatiers travailler quand on a un peu de chance.
La légende du nougat selon Arnaud Soubeyran.
Habile jeu littéraire pour raconter l'histoire merveilleuse de la friandise célèbre de Montélimar.








mardi 15 septembre 2009

Quelques photos de Cordéac.

Cordéac.
Quelques photographies qui datent du début du mois d'août des alentours de Cordéac (sud de l'Isère). Cordéac se trouve dans la vallée du Drac. On regarde ici vers l'amont de la rivière.
On peut aussi remarquer l'installation d'éolienne en cours sur une des "plaines" qui surplombe le Drac.

Une fleur de chardon blanc.
Il paraît qu'il s'agit d'une plante qu'on ne peut pas observer partout. Après, toute la région du Trièves est assez réputé pour sa flore. Je doute que ce soit en été qu'on puisse vraiment apprécier toute sa variété.

Cordéac, vu d'un peu plus haut.
Cette photographie permet de mieux voir la vallée très encaissée du Drac et les "plaines" de Cordéac, ces espaces plats entre la montagne et le trou creusé par la rivière. La montagne qui domine l'autre rive, le Chauvet et son immense alpage culmine à 1705 mètres d'altitude.

Abeilles cherchant l'humidité.
Quelques abeilles au bord d'un petit filet d'eau qui s'écoule de la montagne.


Camion dans le cours de Chalanne.

Le torrent de Chalanne qui traverse la commune de Cordéac est un lieu de récréation très prisé des enfants du village. Certains en gardent d'excellents souvenirs, en tout cas.


mercredi 9 septembre 2009

Promenade à Nantes.

Les loups des douves du château.
Dans la cadre de la manifestation artistique "Estuaire 2009", un artiste a installé une meute de loups dans les douves du château des ducs de Bretagne ce qui a suscité apparemment quelques débats et "scandales". Bon, beaucoup de bruits, pour des animaux qui cherchent l'ombre quand il fait beau en été...

Canon de marine dans la cour du château.

Cet impressionnant canon de marine servait d'appât à touriste dans la cour du château de Nantes pour les inciter à venir visiter une exposition sur les diverses trouvailles de l'archéologie sous-marine de ces dernières années.


Mandarin guitariste.

Autre oeuvre d'art réalisée dans le cadre d'estuaire 2009 : les mandarins guitaristes des halles du Bouffay. C'est une installation d'un artiste dont je ne retrouve plus le nom.
Le principe est assez curieux : des mandarins vivent en semi-liberté sous les halles du Bouffay où sont installées des guitares électriques branchées. En se posant sur celles-ci, les mandarins deviennent créateurs de musique... Fallait y penser, quand même.


A l'intérieur du Jardin des plantes de Nantes.
Le jardin des plantes de Nantes a été créé en 1807. Il est paraît-il assez typique des jardins du XIXe siècle avec ses pièces d'eau et sa rocaille artificielle "la montagne". C'est en tout cas un cadre très reposant à quelques dizaines de mètres de la gare et quasiment en plein centre ville.

Feuilles de tulipiers.

En cet été 2009, les tulipiers étaient à l'honneur au jardin des plantes de Nantes. Ils étaient bien indiqués et différents artistes avaient travaillé autour de cet arbre aux feuilles asymétriques.
Le conservatoire des plantes et les serres du jardin des plantes.

La collection du jardin des plantes de Nantes est assez complète, il paraît même que dans les serres on peut voir l'une des plus belles collection de France de cactées et de succulentes.
Toutes mes excuses pour la mise en page, j'ai toutes les peines du monde a obtenir ce que je veux. Je soupçonne une trop vieille version d'internet explorer, ou un truc dans ce goût là.