mardi 29 décembre 2009

L'automne à Livron.

La Drôme et le pont SNCF.

Voici quelques photographies prises à des moments différents entre les vacances de la Toussaint et celles de Noël autour de Livron.
Sur la photographie ci-dessus, on peut voir la Drôme, le pont SNCF, et au fond, l'Ardèche.

La "maison pour tous" en voie de démolition.

La vue vers Valence.

Depuis le vieux Livron, vue vers le nord, Soyons et sa tour penchée, la montagne de Crussol, les faubourgs et la plaine de Valence.

La tour du Diable.

La Vierge de Livron.

Elle domine la ville haute. En été, on ne la voit pas à cause de la végétation et des feuilles des arbres. Avec l'automne et l'hiver on peut la repérer bien plus aisément, entre la Tour du Diable et le cimetière qui domine le vieux Livron.

Couleurs d'automne sur les pentes du Mont Roti.


Dans la plaine, regard vers Livron.

Photographie prise depuis les abords de l'A7. C'est amusant comment le vieux Livron et ses bosses peuvent sembler assez ridicules de loin, petits monticules par rapport aux autres et pourtant révéler de très sérieuses grimpettes.

Sur les hauteurs de Livron : vue vers Glandasse.

Au pied nord du Mont Roti, on dispose d'une belle vue vers l'Est et la montagne de Glandasse. On voyait loin ce jour-là, peut-être même qu'on voyait des montagnes situées plus loin que la montagne phare du Diois. Pas sûr que cette photographie permette de le démontrer.

lundi 28 décembre 2009

Dans la brume à Thonon-les-Bains.

Le Lac Léman et la brume.

Quelques souvenirs des dernières vacances de la Toussaint, avec cette virée en Haute-Savoie à Thonon-les-Bains. Il a fait très beau lors de ces vacances... sauf ce jour-là où la brume et le plafond nuageux n'ont pas voulu se lever. Bon, pour profiter de la vue sur la Suisse, il faudra repasser...

Maisons de pêcheurs.

Des filets qui sèchent près du port de Thonon... bon, c'est pas la mer, le Léman, mais quand même, avec la brume, on pourrait y croire un peu.

Un château.

Le port vidéo-protégé de Thonon...

Le port de Thonon et ses bateaux de plaisance, la promenade le long du quai... tout ça est sous vidéo-surveillance... enfin, vidéo-protection comme on commence à le dire maintenant.


Le funiculaire de Thonon, vu d'en bas et d'en haut.

samedi 19 décembre 2009

Nouveau repérage à La Voulte.

Vue sur Beauchastel et la confluence du Rhône et de l'Eyrieux.
Au nord de la Voulte, on surplombe la vallée de l'Eyrieux. On peut voir sur cette photographie le rebord du Massif Central, le vieux village de Beauchastel, la plaine de l'Eyrieux et à l'arrière-plan, le Rhône, l'usine hydroélectrique de Beauchastel et la plaine de Valence (on peut voir Etoile sur Rhône et Portes-les-Valence à priori). Ce jour là, le Vercors était caché par les nuages.
Un bâtiment de la Cité Gillet :
Un assez grand quartier de la Voulte se nomme la Cité Gillet. Il s'agit de maisons mitoyennes et de petits immeubles comme celui-ci construits dans les années 1950-1960 pour héberger le personnel de la grande usine de soie artificielle qui a fait vivre la Voulte pendant la deuxième partie du XXe siècle.

Un autre paysage : vue sur les ancienes fonderies et le château.
Photographie prise depuis la rampe qui permet de rejoindre les cités de Montméot. On peut voir une partie de la vieille ville de La Voulte avec le château et l'église. A gauche, les ruines de l'ancienne fonderie qui a fait vivre la ville au XIXe siècle. Ce jour là, des personnes travaillaient à l'entretien de la cheminée de l'usine.

Les bâtiments de l'ancienne fonderie.
Quelques bâtiments de l'ancienne fonderie qui ont conservé la couleur rouge liée au fonctionnement des hauts fourneaux.

Les hauts fourneaux.
Photographies des hauts fourneaux de la Voulte. La fonderie de la Voulte a été ouverte dans les années 1820. Il s'agissait d'exploiter le fer du gisement de la Boissine qui domine la ville. Seul le charbon venait de loin (Rives de Giers dans la Loire), le minerai de fer, la castine et la silice venant des carrières locales.

dimanche 13 décembre 2009

La foire bio de Mens.

La rue des "engrangeous".
Retour dans le sud Isère et le Trièves pour la journée du patrimoine et la foire bio de Mens.
Les "engrangeous" sont une des particularités de Mens : il s'agit de ces avancées de toits au dessus de la route, avec un système de poulie pour monter dans le grenier la paille...
Tout au fond de la rue, on peut voir le "Chatel". Si on regarde de l'autre côté, on peut voir le Mont Aiguille, mais comme il est beaucoup plus loin, il est au dessus des capacités de mon appareil photo...
Un saint Pierre du Trièves.
Journée du patrimoine oblige, le musée du Trièves était ouvert. On pouvait y voir une exposition de vannerie et les pièces permanentes du musée dont ce moulage d'un chapiteau du XIIIe siècle de l'église de Saint Maurice en Trièves représentant mon saint patron.

La place des halles.
Photographie prise depuis le musée du Trièves. On peut y voir les halles de Mens occupées pendant la foire bio, divers stands, essentiellement alimentaires dans ce secteur, et au fond, le Chatel, le col de la Brèche et l'Aiguille (à ne pas confondre avec le Mont Aiguille qui se trouve dans notre dos, côté Vercors...). Cordéac se trouve de l'autre côté de ces montagnes là.

A l'intérieur du temple de Mens.
Autre visite possible grâce aux journées du patrimoine, le temple de Mens était ouvert et présentait une très curieuse exposition sur le protestantisme et sur Jean Calvin.

samedi 12 décembre 2009

De Grane à Chabrillan.

La campagne entre Grane et Chabrillan.
Grane et Chabrillan sont deux villages très proches l'un de l'autre qui se situent dans la vallée de la Drôme, rive sud, entre Loriol et Crest. La photographie ci-dessus est prise à la sortie de Grane. On peut voir le haut des tours du chateau de Chabrillan qui dépassent de peu le sommet des arbres sur la serre où le village est perché.

Serre de cyclamens.
On peut voir entre les deux villages une très belle collection de cyclamens...
Depuis Chabrillan : vue sur la vallée de la Drôme.
Chabrillan regarde vers l'est. Le village est perché et dominé par un assez imposant château. On peut voir ici les restes des remparts qui l'entouraient.
Niveau paysage, la brume gâche un peu le panorama très vaste qui s'étend devant nous. On peut quand même bien voir Crest et son fameux donjon, et discerner de l'autre côté les Trois Becs. On a d'ailleurs depuis Chabrillan une très belle vue de l'ensemble du synclinal perché de Saou.

Le château de Chabrillan.

En regardant vers Grane.

De retour vers Grane on découvre un autre paysage : Grane, et derrière le village les bosses de Livron (Mont Roti, Brézem...). A l'arrière plan, l'Ardèche.
Le grand clocher de Grane.

Une petite photo de ce clocher qui marque le village de Grane. Je n'ai pas pris le temps de noter ni de rechercher des informations sur son origine et sa nature.
Bon, mon petit doigt m'a dit qu'on reviendrait par là, un de ces quatre matins.

dimanche 22 novembre 2009

Repérage à La Voulte sur Rhône.

Le quai du Midi à La Voulte.
Première sortie de repérage de la Voulte sur Rhône. Promenade axée sur les bords du Rhône et sur la vieille ville de la Voulte (j'ai notamment suivi le balisage "sur les pas de Régis le mineur", qui pemet un très sympathique tour de la cité voultaine).
Sur la photographie ci-dessus on peut voir le pont qui relie la Voulte à Livron (construit en 1889-1890), le quai du midi, la sirène qui avertit les riverains en cas de crue du Rhône ou de divers phénomènes liés aux pompages, à la présence des barrages, et aux confluences dans ce secteur (entre le Rhône, l'Eyrieux, et plus au sud, la Drôme). Enfin, sur les hauteurs, le château de la Voulte.
Dans les ruelles de la vieille ville.
La vieille ville de La Voulte est calée au pied du château, entre celui-ci et le Rhône. Les rues y sont très étroites. Il s'agit souvent de "calades", d'escaliers qui serpentent entre les maisons et passent parfois sous des passages voûtés. Certaines maisons sont probablement très anciennes, il est toutefois assez difficile de les dâter.
Au pied des remparts du château.
Les pas de Régis le mineur nous conduisent au pied du château. Celui-ci fut construit par la famille Lévis De Ventadour à la fin du Moyen Age. Le dispositif pour l'éclairer la nuit est on ne peut plus conséquent.
Petite anecdote amusante : la fille d'Anne de Montmorency qui avait son château à Fère en Tardenois, épousa un fils De Ventadour et résida dans ce château.
Vue vers le nord de la Voulte.
Au pied du château, une très belle vue s'ouvre sur le nord. Cette photo en compose le tiers "central". Il manque à droite: le Rhône, les îles, la plaine de Valence, le rebord du Vercors... et à gauche, les quartiers de la Voulte qui montent à l'assaut du rebord du Massif Central.
Ici, on voit au premier plan, une petite partie de la vieille ville, les arbres de la place du marché, la zone industrielle et différents quartiers résidentiels.
On peut aussi voir le collège des Trois vallées.
L'horizon est fermée par la "bosse" qui domine Beauchastel.
Le site des anciennes fonderies.
Entre le château et le rebord du Massif Central on peut voir les ruines de l'ancienne fonderie de la Voulte. Il s'agit d'un site assez exceptionnel. Cette fonderie fut inaugurée en 1827, il s'agissait d'un des premiers sites en France où on utilisa du coke pour obtenir de la fonte. Le charbon était amené depuis Rives de Giers en bateau. Le reste (silice, castine et minerai de fer) venait de la Voulte (mine de fer de la Boissine). La fonderie s'est arrêtée à la fin du XIXe siècle.
Depuis cet endroit, on ne voit pas les hauts-fourneaux, par contre, depuis le Parc Baboin, on les voit très bien.
Le sentier "Régis le mineur" est axé sur la présentation de la Voulte à l'époque de la fonderie.
La cour du château.
Le château de la Voulte est assez rarement ouvert au public. Il a connu une histoire assez mouvementée et un XXe siècle plutôt éprouvant.
A l'époque de la fonderie, la compagnie des forges l'avait acheté et y avait installé divers bureaux et logements. Le château passa ensuite entre diverses mains.
A la fin de l'été 1944, lors de leur retraite le long du Rhône, les troupes allemandes l'incendièrent en tirant dessus des obus incendiaires. Le feu dura plusieurs jours... La commune a acheté ensuite le château. Le chantier est considérable.
"Beau potentiel", comme disent les agents immobiliers.
Vue vers l'est.
Depuis le "jardin d'hiver", on dispose d'une belle vue sur l'Est et les Préalpes. Cette photographie est centrée sur les "Trois Becs", le synclinal perché de Saou.
Mais on peut voir aussi le rebord du Vercors et même Glandasse depuis cet endroit (plutôt à gauche de cette photographie).
Plus près de nous, on peut voir le vieux Livron et les bosses sur lequel il est perché. Vues d'ici, elles semblent bien ridicules et tellement plus petites que celles qui dominent Loriol, Grâne...
Une calade.
Retour dans les petites artères de la vieille ville.
La place Girou et la vieille fontaine.
Vestiges des fortifications et la fontaine (XVIe ou XVIIe siècle), qui fut longtemps la seule de la ville.

mercredi 18 novembre 2009

Autour d'Eurre.

Retour dans la Drôme, avec une promenade autour du village d'Eurre.
Celui-ci se situe au nord de la vallée de la Drôme, entre Livron et Crest.

Du sable...

Je commence par des photos "géologiques" : le sous-sol d'Eurre est en partie sableux, comme on peut le voir sur ces photographies. Cela donne des strates assez photogéniques et des jolies couleurs quand il y a du soleil.
Le TGV et les Trois Becs.
Entre Eurre et le Vercors la ligne LGV Sud passe (TGV pour Marseille, Montpellier...). A l'arrière plan, on peut voir le synclinal perché de Saou et les Trois Becs.
Le château d'Eurre.

Le village perché d'Eurre est dominé par son château. Le site est fortifié depuis le XIe siècle. Le château que l'on peut voir mélange des éléments du Moyen Age et de la Renaissance.
Un des seigneurs d'Eurre, Giraud d'Urre fut le filleul de François Ier, hein, quand même.
Autrement, la place d'Eurre et son château connurent une histoire mouvementée lors du Moyen Age (querelle entre les comtes du Valentinois et l'évêque de Valence, vers 1350) et lors des guerres de religion (aux alentours de 1575).

Une autre vue du château.

lundi 16 novembre 2009

Entre Marseillan plage et Marseillan.

Dernière page sur notre virée héraultaise. Retour au front de mer avec une baignade à Marseillan-Plage (situé à l'est du Cap d'Agde) et la visite de Marseillan, dont le centre se trouve au bord de l'étang de Thau, quelques kilomètres au nord.

Trackers dans le ciel de Marseillan.

Pour la fin des vacances, on ne se refuse rien, et pas la terrasse du seul restaurant du front de mer de Marseillan... Bon, on n'avait pas prévu qu'un incendie se déclencherait entre Marseillan-Plage et l'étang de Thau, amenant l'intervention des trackers de la Sécurité civile et d'avions monomoteurs des pompiers de l'Hérault.
Impressionnant et bruyant ballet aérien autour de notre table...
La plage de Marseillan-Plage.
Marseillan-Plage se trouve à l'est du Cap d'Agde, en direction de Sète. La plage occupe un très beau cordon dunaire. C'est une plage de sable fin rendu brûlant par le soleil. Les conditions de baignade sont très sympathiques, avec une pente douce, une eau limpide... et sans vague.

A l'horizon, sur la photographie on peut voir les rochers du Cap d'Agde.
Marseillan-Plage. Les consignes.

Intéressant service mis à la disposition des touristes : des consignes sur la plage. Pour combattre l'idée suivant laquelle on ne peut pas se baigner en Méditerranée sans risque pour ses affaires. En tout cas, c'est bien pratique, mais loin d'être utilisé systématiquement par les baigneurs.
Le port de Marseillan.

L'étang de Thau et Sète.

Le bourg de Marseillan se trouve au bord de l'étang de Thau (séparé de la Mer par un cordon dunaire). De l'autre côté : c'est Sète, sur sa bosse.

Dans le dédale de Marseillan.
Le centre de Marseillan est un intéressant dédale de petites rues, de façades colorées...

La rive nord de l'étang de Thau.

On peut voir sur cette photographie les parcs à huitres de l'étang de Thau et les villages de Mèze et de Bouzigues.
Baigneurs au bord de l'étang de Thau.

Près de Marseillan, l'étang de Thau n'est vraiment pas très profond.
Au fond : Sète et le cordon dunaire qui rejoint Sète à Marseillan-Plage puis au Cap d'Agde.
Jouteurs à Marseillan.

Dans le port de Marseillan, les jouteurs offraient une petite démonstration aux touristes.