samedi 27 mars 2010

Un tour vers les Petits Robins.

La vue aérienne de cette promenade.

Quelques photographies prises dimanche dernier, lors d'une journée annoncée pluvieuse et finalement juste un peu brumeuse. Mon objectif était de relier les Petits Robins, l'un des plus grands hameaux de Livron, et l'un des plus exposé au risque d'inondation.

Dimanche d'élection...

Dimanche dernier, ça votait aussi pour les élections régionales. Il y a eu un peu moins d'abstention au second tour à Livron (51,89 % au second tour contre ...58,15 % au premier...) mais tout de même...
Au niveau des résultats à Livron, Jean Jack Queyranne et sa liste rassemblant celle de Philippe Meirieu (Europe Ecologie) et celle du Front de Gauche l'a emporté avec 49,23 % des voix, devant la liste UMP de Françoise Grossetête avec 30,06 % des voix et celle de Bruno Gollnisch (FN) avec 20,71 %.
A La Voulte, le résultat est très différent, Queyranne dépasse les 60 % et Grossetête et Gollnisch sont quasiment à égalité à 17 %...

Arrosage intensif.

Bon, avec les élections arrive le printemps... En tout cas, du côté de la pépinière qui se trouve à côté de l'A 7 ça arrosait peut-être un peu trop.

Le printemps arrive.

En parlant de printemps... les arbres (sans doute des abricotiers) étaient quasiment en fleurs dimanche dernier. Depuis les vergers d'abricotiers sont tous fleuris et c'est très beau. Bon, vu l'averse orageuse de vendredi matin, c'est pas dit que la récolte soit très bonne dans le secteur.

Un nouveau verger.

Apparemment, certains continuent de croire à l'arboriculture dans la vallée du Rhône et de la Drôme. Un champ fraichement planté. Hélas, cette promenade passait aussi près de vergers passés au bull... (voir plus bas).
La digue du Rhône.

Juste à côté des Petits Robins, se trouve le Rhône et sa digue "submersible", interdite aux promeneurs mais cadre de beaucoup de promenade dominicale... Bon, cette digue n'empêche pas (et c'est même annoncé) le Rhône de passer par dessus et d'inonder les Petits Robins. Cela arrive assez régulièrement et n'a pas grand chose de surprenant (le Rhône fait un "coude" au niveau des Petits Robins, quand il y a beaucoup d'eau, il tend donc à faire du "tout droit" en plein par le village, et puis on est au niveau de la confluence avec l'Eyrieux, qui a ses colères, et puis, c'est tout plat et à quelques mètres au dessus du niveau moyen du Rhône, et puis, il y a pas d'usines par ici, contrairement au Pouzin... alors...).


La digue vers la Voulte.

Une vue vers le sud et la Voulte, son pont et sa vieille ville dominée par le château.

Vue vers le nord et le barrage de Beauchastel.

Le barrage de Beauchastel sous un autre angle que pour la promenade déjà décrite ici sur ce village "de caractère". Il me semble que sur la gauche du barrage on doit voir les écluses par où passent les bateaux et les péniches.

Ancien verger.

Un verger détruit sur la route du retour à Livron.

dimanche 14 mars 2010

Un tour vers Fontgrand.

La vue aérienne de la balade.

Retour dans la Drôme et dans la plaine de Valence avec cette promenade entre Livron et le hameau de Fontgrand, dans la plaine, mais aussi sur le petit coteau qui s'étend au nord de la ville.

La ménagerie Zapata dans le parc de la maison Cauzid.

Curieux et rare spectacle : zèbres, cheval, lamas et autres biquettes ont envahi le parc de la maison de retraite Cauzid à Livron.

Vue sur le Vercors après la montée des Tonneliers.

Dans cet itinéraire on quitte la plaine par une petite route qui monte gentiment, la "montée des tonneliers". Une fois arrivée en "haut", la vue s'ouvre vers l'est et le rebord occidental du Vercors, alias "les Monts du Matin". Entre eux et nous, toute la plaine de Valence, ses collines, ses villages et ses très belles fermes.

Retour vers la plaine.

Une photographie prise plus au nord, sur la route qui borde le coteau, au dessus des maisons. Elles ont une vue sympa ces maisons (souvent grandes) vue leur situation dominante sur la plaine et la nationale 7.

Livron et le "coteau" depuis la plaine.

Photographie prise depuis la plaine entre Fontgrand et Livron. On peut voir à gauche le coteau dont j'ai déjà parlé, mité par toutes ces grandes maisons qui s'y empilent. Un peu plus loin, trois des bosses de Livron (le Mont Roti, la plus haute) avec sur la dernière le vieux Livron.
On ne voit pas la nationale 7, mais on l'entend bien... elle n'est qu'à une petite centaine de mètres dans le dos du photographe...

Promenade du côté de Ribeyre.

Le retour des vues "google earth".

Bon, j'ai retrouvé les plaisirs de la navigation "googlearthienne", alors j'en profite pour remettre une vue aérienne en 3D de l'itinéraire de cette promenade facile, et uniquement "sur route", toujours du côté de Cordéac.
Ribeyre et le sommet de l'Obiou.

Quelques maisons du hameau de Ribeyre, l'Aiguille et, vaguement visible avec cette météo peu propice pour mon appareil photographique, le sommet de l'Obiou qui montre le bout de son nez.

La plaine et le Vercors.

Une vue du rebord oriental du Vercors depuis la grande plaine que traverse la route qui relie Cordéac à Mens ou à Saint Sébastien.
La neige venait tout juste de fondre sur celle-ci.

dimanche 7 mars 2010

Du côté des Roussins.

L'Obiou depuis la plaine des Pelissiers.

Quelques photographies d'une autre promenade du côté de Cordéac. Cette fois-ci, nous sommes partis de la plaine des Pelissiers, au sud-est de Cordéac, à la limite entre cette commune et celle de Pellafol, et avons un peu grimpé en direction de l'Obiou et de l'Aiguille.
L'Obiou est le plus haut sommet de toutes les "Préalpes" avec ses 2789 mètres d'altitude.
C'est une montagne qui offre différents visages suivant l'endroit d'où on le regarde. Depuis la plaine des Pelissiers il montre un sommet assez effilé.

Le sommet de l'Obiou.

La ferme des Roussins.

Lors de cette promenade nous sommes passés à côté des Roussins. Pour les amateurs de "calme" la situation est assez exceptionnelle, au pied de l'Obiou et de l'Aiguille.
Bon, par contre, l'accès n'est pas évident en hiver.

Autre vue de la ferme des Roussins.

Un autre regard sur la ferme des Roussins. On regarde ici en direction de la vallée du Drac et de l'Oisans.

La plaine des Pelissiers et La Croix de la Pigne.

Retour sur la plaine des Pelissiers, pour profiter d'un petit coup de vent bien froid et de la vue sur la Croix de la Pigne, le premier des hameaux de Pellafol.

samedi 6 mars 2010

Le long de la cote 1000 à Cordéac.

Rayon de soleil de l'autre côté du Drac.

Quelques petites photographies prises il y a peu du côté de Cordéac.
Le chemin dit de la "cote 1000" est un chemin assez facile qui longe le pied du Châtel aux environs de 1000 mètres d'altitude. Quand on part de Cordéac en direction de Saint Sébastien on a une vue très jolie sur la vallée du Drac et la Matheysine.


Le col de Saint Sébastien, Châteauvieux et le Vercors dans les nuages.


La météo n'était pas vraiment idéale, un peu couverte pour faire de belles photographies de paysages. Sur celle-ci on voit la bosse de Châteauvieux avec son antenne et à côté, le col qui permet de rejoindre Mens en voiture depuis ce versant du Châtel.
Derrière, et bien plus loin, on voit les falaises du rebord oriental du Vercors.

Le profil du Châtel.

dimanche 28 février 2010

Le tour du Serre de Jupe à Montoison.

La vue sur l'Ardèche depuis le Serre de Jupe.

Le Serre de Jupe est une colline qui domine la plaine de Valence. On peut y avoir une vue panoramique assez intéressante, notamment sur l'Ardèche.

La preuve : ce jour là, on voyait jusqu'au Gerbier de Jonc et au Mézenc.

Bon, mon appareil photo montre un peu ses limites sur ce coup là, mais à l'oeil nu on distinguait très bien le sommet pointu du Gerbier de Jonc et celui plus "tabulaire" du Mézenc, l'autre grand sommet de l'Ardèche.

La vue vers l'est.

Vers l'Est, on voit moins loin, évidemment, le Vercors barre et limite la vue. On voit très bien sur cette photographie le village d'Upie et l'autre grande hauteur du sud de la plaine de Valence, le mont Miéry.
La ligne TGV vers le sud passe juste derrière Upie.

Autre paysage : Valence au nord.

Dernière photographie de paysage : cette fois ci en regardant vers le nord : on peut voir que la plaine de Valence n'est pas si plate que cela. Depuis le nord du Serre de Jupe on peut voir l'agglomération valentinoise et son fameux château d'eau.

Petites photographies de "biolo".


Les paysages ne sont pas les seuls intérêts de cette promenade qui fait le tour du Serre de Jupe avant de grimper sur sa ligne de crête. On y traverse une jolie forêt assez tranquille avec quelques petites curiosités.

mardi 16 février 2010

Promenade au dessus de Beauchastel.

Beauchastel.
Quelques photographies prises lors d'un tour au dessus de Beauchastel en Ardèche.
Ce petit village se situe juste au nord de la Voulte, à la confluence entre le Rhône et l'Eyrieux. Cette promenade grimpe progressivement au dessus du vieux village de Beauchastel et redescend plus rapidement le long de "l'échine de l'âne". Balade qui offre de très belles vues sur les vallées du Rhône et de l'Eyrieux.
Premier paysage : l'usine hydroélectrique de Beauchastel.
Une vue de l'usine hydroélectrique de Beauchastel de la CNR. Si j'en crois ce que j'ai trouvé sur Internet, cette usine date de 1963 et produit 1,2 milliard de kWh par an. C'est l'un des fameux "barrage au fil de l'eau" de l'aménagement du Rhône.
Bon, pour revenir sur les paysages, le temps n'était pas idéal : un fort mistral nettoyait le ciel au dessus de l'Ardèche et rendait la promenade vivifiante, mais poussait les nuages sur les contreforts du Vercors et de la Drôme.
La confluence de l'Eyrieux et du Rhône.
L'Eyrieux qui longe Beauchastel et ses quartiers récents rejoint plus loin le Rhône. Plus au sud, dans le contrejour on peut voir La Voulte et ses deux ponts. Livron, du côté drômois est dans la brume.
La vallée de l'Eyrieux.
La vallée de l'Eyrieux, une des rivières qui chemine à travers l'Ardèche. On voit "en dessous" la tour qui domine le vieux Beauchastel, et plus loin le village de Saint Laurent du Pape.
Dernier paysage : la vallée du Rhône vers le Nord.
Le Rhône qui se divise en deux bras : la partie la plus proche de nous qui fait fonctionner le barrage de Beauchastel et celle qui slalome juste à côté, déviée par le barrage de Charmes sur Rhône (au niveau du pont que l'on peut voir au centre de la photographie).
Côté villages, on peut voir une partie de Beauchastel et Charmes sur Rhône de ce côté-ci de l'Ardèche, Portes-les-Valences de l'autre côté.
Plus loin, eh bien, ça doit être Valence.
Le sous-bois le long de l'Echine de l'âne.
Après avoir mis quelques kilomètres pour grimper tout en haut de la bosse qui domine Beauchastel, on redescend plus brusquement par l'Echine de l'âne à travers une végétation composée de chênes verts, de lichens, de mousse, de petit houx... bref, déjà une végétation plutôt méditerranéenne.
L'empilage de toît du vieux Beauchastel.
Après être arrivé en bas de l'Echine de l'âne, on rentre tranquillement par le bas du vieux village de Beauchastel et sa forte densité de bâti.