En fait, pour faire simple, d'un côté du Rhône, c'est Valence, et de l'autre, c'est Guilherand-Granges.
J'ai réalisé ce tour sans le prévoir, en me laissant guider par mes pas (sans carte, ni plan), ce qui peut expliquer la forme un peu curieuse de cette boucle.
J'ai réalisé ce tour sans le prévoir, en me laissant guider par mes pas (sans carte, ni plan), ce qui peut expliquer la forme un peu curieuse de cette boucle.
L'itinéraire suivi à Guilherand-Granges.
Cette petite ville, comme son nom l'indique est composée de deux morceaux : Guilherand et Granges. Ce tour se contente surtout de faire une petite visite de Granges, à en croire l'IGN.
Là encore, le village semble se couper en deux morceaux avec une cassure réalisée par la voie ferrée et par la N86.
Coincé au pied de la montagne dominée par le château de Crussol, on trouve un petit village structuré par la N86, avec l'église, des rues étroites, des maisons qui font relativement anciennes.
Là encore, le village semble se couper en deux morceaux avec une cassure réalisée par la voie ferrée et par la N86.
Coincé au pied de la montagne dominée par le château de Crussol, on trouve un petit village structuré par la N86, avec l'église, des rues étroites, des maisons qui font relativement anciennes.
Le château de Crussol, qui domine Guilherand-Granges.
Entre la voie ferrée et le Rhône, là, on trouve une ville "de banlieue" avec ses logements collectifs plus où moins récents, ses équipements collectifs au look futuriste et "avant-gardiste",(mairie, commissariat, collège, salles de sport, de spectacle, église...), ses quartiers pavillonnaires, ses zones commerciales où l'on trouve les mêmes enseignes que partout ailleurs en France.
La mairie de Guilherand-Granges.
Autre exemple, l'étrange statue représentant "la flamme de la résistance qui jamais ne s'éteindra" sur la promenade qui longe le Rhône (avec un calcaire de Cruas, offert par Calcia).
Mais attention, hein, on n'est pas ici dans une banlieue "dégradée", les espaces publics sont soigneusement entretenus (la place de la mairie, par exemple), on a laissé de la place à des espaces verts bien soignés, la ville est parsemée d'oeuvres d'arts "positives" comme le disque devant la mairie (5 visages représentant sans doute les 5 continents, regardant une colombe), ou le deuxième monument aux morts (le premier est dans le cimetière, celui-ci est juste à côté), représentant un globe soutenu par deux mains, des colombes qui s'envolent) et ce très beau message : "Souvenons-nous. Espérons.."
Autre exemple, l'étrange statue représentant "la flamme de la résistance qui jamais ne s'éteindra" sur la promenade qui longe le Rhône (avec un calcaire de Cruas, offert par Calcia).
Forme étrange d'une statue en l'honneur de la résistance.
La promenade au bord du Rhône est d'ailleurs assez représentative du soin porté aux espaces publics : bien goudronnée, éclairée, avec une végétation bien entretenue, nombreux sièges tout est fait pour que ce lieu (qui offre une vue assez sympathique sur Valence) soit fréquenté par le plus de monde.
Vue sur Valence.
Si cette ville semble aussi récente, c'est probablement à cause des terribles bombardements de l'été 1944 qui, au vu du monument aux morts de la commune ont fait de très nombreuses victimes et ont probablement pas mal aplatis la ville de l'époque.
Autre chose, mais là, c'est une hypothèse, j'imagine que le développement de Guilherand-Granges a été grandement tributaire du pont qui la relie au centre de Valence... Maintenant, j'ignore la date à laquelle celui-ci a été inauguré.
Autre chose, mais là, c'est une hypothèse, j'imagine que le développement de Guilherand-Granges a été grandement tributaire du pont qui la relie au centre de Valence... Maintenant, j'ignore la date à laquelle celui-ci a été inauguré.
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