L'itinéraire de cette balade.
Ce petit tour du côté de Livron-sur-Drôme, probablement pas le dernier que je présente ici, d'ailleurs, était inspiré par deux "centres d'intérêts" : les canaux qui sillonnent la plaine de Livron et une partie des berges de la Drôme que je ne connaissais pas encore.
Pour se garer, il y a pas mal de parkings à Livron. Donc, c'est pas vraiment un souci...
Et puis, on peut venir en train, même...
Pour se garer, il y a pas mal de parkings à Livron. Donc, c'est pas vraiment un souci...
Et puis, on peut venir en train, même...
Un panneau dans un canal.
Pour faire simple, dans la description de l'itinéraire, j'ai suivi un des canaux qui traverse Livron. On peut prendre celui qui longe la rue qui conduit à la gare SNCF et à la Voulte sur Rhône, ou celui qui se trouve, parallèlement, une rue "plus au nord" et qui borde un champ.
La photo ci-dessus montre un de ces deux canaux. Le courant y est relativement important (en tout cas, au printemps). Maintenant, est-ce qu'il a suffit à faire basculer le panneau ???
La photo ci-dessus montre un de ces deux canaux. Le courant y est relativement important (en tout cas, au printemps). Maintenant, est-ce qu'il a suffit à faire basculer le panneau ???
Peu de temps après avoir traversé les voies SNCF, par le "tunnel" près de la gare, on longe une zone "industrielle". Après le carrefour, on voit sur le côté de la route, une maison plus ancienne.
Si l'on suit le canal, on trouve cette très belle roue à aubes.
Les canaux de Livron n'étaient pas seulement utilisés pour irriguer les champs, mais leur énergie était aussi mis au profit de diverses activités de moulinages. D'après un guide de l'office de tourisme de Livron, les roues étaient assez nombreuses. Il en reste peu. Après l'éolien "à domicile", les "panneaux solaires"... y-a-t-il une chance pour que la petite énergie hydraulique des "moulins à eau" reprenne toute sa place ?
La deuxième partie de cette promenade, consiste à longer, parfois de loin, parfois de près, par des petites routes de campagne, l'autoroute vers le sud, jusqu'à rejoindre la Drôme. Cela permet d'avoir une vue assez sympa vers l'Ardèche d'un côté, et vers le vieux Livron de l'autre. Je pense qu'on peut même voir jusqu'à la montagne de Glandasse, en tout cas, jusqu'aux falaises du Vercors.
Si l'on suit le canal, on trouve cette très belle roue à aubes.
Les canaux de Livron n'étaient pas seulement utilisés pour irriguer les champs, mais leur énergie était aussi mis au profit de diverses activités de moulinages. D'après un guide de l'office de tourisme de Livron, les roues étaient assez nombreuses. Il en reste peu. Après l'éolien "à domicile", les "panneaux solaires"... y-a-t-il une chance pour que la petite énergie hydraulique des "moulins à eau" reprenne toute sa place ?
La deuxième partie de cette promenade, consiste à longer, parfois de loin, parfois de près, par des petites routes de campagne, l'autoroute vers le sud, jusqu'à rejoindre la Drôme. Cela permet d'avoir une vue assez sympa vers l'Ardèche d'un côté, et vers le vieux Livron de l'autre. Je pense qu'on peut même voir jusqu'à la montagne de Glandasse, en tout cas, jusqu'aux falaises du Vercors.
Le vieux Livron, et la Drôme.
On rentre ensuite à Livron en empruntant un chemin qui court sur la digue qui domine le cours de la rivière.
Sur cette partie de son cours, la Drôme dispose d'un assez large lit, ce qui fait qu'on ne l'a voit pas si souvent que cela. Elle a un peu plus de place pour se lancer dans des méandres, relativement larges et multiplier ses bras. La rivière et ses cailloutis est bordé par un espace occupé par la végétation, qu'on appelle ici "les ramières". Mais bon, cette "rivière sauvage" (une rareté dans les Alpes françaises), est loin d'être laissée complètement libre de ses divagations.
On peut longer la Drôme jusqu'au pont Henri Faure. De là, on peut rejoindre sa voiture, si on est venu à Livron en voiture.
Sur cette partie de son cours, la Drôme dispose d'un assez large lit, ce qui fait qu'on ne l'a voit pas si souvent que cela. Elle a un peu plus de place pour se lancer dans des méandres, relativement larges et multiplier ses bras. La rivière et ses cailloutis est bordé par un espace occupé par la végétation, qu'on appelle ici "les ramières". Mais bon, cette "rivière sauvage" (une rareté dans les Alpes françaises), est loin d'être laissée complètement libre de ses divagations.
On peut longer la Drôme jusqu'au pont Henri Faure. De là, on peut rejoindre sa voiture, si on est venu à Livron en voiture.
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